Atelier EFA 67 et EFA 68 sur les limites : autour des particularités des enfants
29 novembre 2025 À Mulhouse (68)
Dans l’adoption, la question des limites se pose de façon accrue. EFA 67 et EFA 68 vous proposent un atelier pour réfléchir à vos limites et aux contours de votre projet : jusqu’où puis-je aller ? De quel enfant pourrais-je (ou pas) être le parent ? Âge, santé, histoire : que puis-je accepter ou ne pas accepter ? Ces limites peuvent éventuellement évoluer : comment cette évolution s’accompagne-t-elle ?
Un atelier sur les limites : pourquoi et comment ?
Une des premières démarches dans un projet d’adoption est certainement de pouvoir cerner ses limites, les identifier et les nommer sans se juger soi-même ou se sentir jugé.
C’est ainsi se poser des questions auxquelles on n’avait pas songé, s’interroger sur son « champ des possibles », mieux cerner ses limites et ses aptitudes, autant d’opportunités de clarifier et de développer son projet parental…
Céline, membre d’EFA 68, et Mariane, membre d’EFA 67, vous proposent un atelier pour échanger sur vos limites, pour mieux comprendre la situation des enfants adoptables en France, ce que recouvre les notions de handicap, d’incertitude…
POUR QUI ?
- Atelier ouvert aux postulants à l’adoption.
OÙ ET QUAND ?
- Lieu : Udaf de Mulhouse, 11 rue Gustave Hirn, Mulhouse
- Date : samedi 29 novembre 2025
- De 14 h 00 à 17 h 00
Tarif et inscription
- Gratuit et sur inscription
À lire aussi sur ce blog
- Le témoignage des parents d’Aline, adoptée à l’âge de 6 ans « Accepter son enfant tel qu’il est »
À lire dans la revue Accueil
- Accueil n° 192, « Les limites dans l’adoption », septembre 2019
Dans l’adoption, la question des limites se pose de façon accrue. Avant l’adoption, pour définir les limites et les contours de son projet : jusqu’où puis-je aller ? De quel enfant pourrai-je (ou pas) être le parent ? Âge, santé, histoire : que puis-je accepter ou ne pas accepter ? Ces limites peuvent éventuellement évoluer : comment cette évolution s’accompagne-t-elle ? Devenir enfin parent, c’est aussi fixer des limites à son enfant. Si, dans la parentalité biologique, le développement de l’enfant permet la succession progressive des étapes, dans la parentalité adoptive tout se bouscule, en particulier quand l’enfant arrive « grand ». Une difficulté souvent pointée par les parents : créer le lien tout en posant un cadre et des règles pour répondre aux besoins de sécurité et de protection de l’enfant. Un défi !
iStock/Anna Malykh