Témoignages

Passer de rien à tout : retrouver ses origines en Colombie

Forte d’une énergie à revendre, Florence Billet-Ranger – Flo, pour sa cohorte d’amis – a vécu de sacrées aventures, d’un continent à l’autre. À commencer par sa naissance, car être au monde, dit-elle, quelle merveille, quel mystère ! Une aventure hors du commun lui a permis de retrouver ses origines en Colombie. Une autre, de retour en France, a été la mise en mots de ces retrouvailles. Partage avec une jeune artiste dont la sensibilité est à fleur de tendresse…

Dire l’abandon

François-Xavier de Boissoudy est artiste peintre. Né en France sous le secret, il a été adopté à l’âge de 3 mois.
Dans l’entretien qu’il a accordé à la revue Accueil, il évoque le regard qu’il porte sur ses parents, l’importance de raconter à l’enfant son histoire et de dire l’abandon. Parce que, nous dit-il : les mots qui ne sont pas dits, c’est très dangereux

Quand les adoptés transmettent à leurs enfants

Après nous avoir offert une magnifique série de bandes dessinées et un film autobiographiques « Couleur de peau : Miel », Jung a réalisé un film documentaire : « Tout ce qui nous relie ». Cette fois, le film porte sur ce que les adoptés transmettent leurs enfants ou vont leur transmettre. Un sujet peu ou pas exploré qui nous a donné envie d’en savoir un peu plus.

Adopter un enfant avec une déficience auditive

Les parents de Louise, qui présente une déficience auditive, nous parlent de son arrivée à la maison, de l’enthousiasme de toute la fratrie, de l’acceptation du handicap de Louise et de sa prise en charge.

Incertitude de développement : en route vers notre fille avec ERF…

Déjà parents de trois enfants, Emmanuel et Soizig ont cheminé avec ERF avant de devenir les parents d’une petite fille de 6 mois qui présentait une incertitude de développement, un retard psychomoteur et un repli sur soi. Un accompagnement qui s’est poursuivi après l’arrivée de la fillette.

Portrait : Gerry Oulevay, artiste de rue et adopté en Inde

Gerry a été adopté en Inde par des parents suisses. Il a entrepris un voyage à vélo vers son orphelinat d’origine à Bombay et il a poursuivi le voyage bien au delà, pendant trois ans et demi. Depuis, il est devenu un artiste de rue, un photographe et un inventeur mécanique, poétique et atypique.

Un Zébulon comme on les aime, qui avait répondu aux questions d’EFA pour la revue Accueil en 2016, que nous republions ci-dessous.

Quand adoption se conjugue avec handicap…

Pour notre troisième enfant, nous nous sommes orientés vers l’adoption. Nous ne ressentions pas le besoin d’une filiation biologique. Dans le cadre de la procédure d’agrément, nous avons cheminé vers l’adoption d’un enfant dit « à besoins spécifiques ».

Une petite fille à besoins spécifiques

Un jour, un mail d’ERF : une petite fille à besoins spécifiques de 2 ans, trois mois d’écart avec notre fils aîné, mais tellement handicapée qu’elle sera vraiment sa « petite » sœur. C’est ce qu’on nous dit. Une situation d’urgence. Super ! Vite, il faut tout préparer, prévenir tout le monde ! Bon, l’urgence, l’urgence…

Un vrai rayon de soleil pour notre famille

Déjà parents de deux enfants adoptés (un garçon originaire de Russie et une fille née France), nous souhaitions encore agrandir notre famille en accueillant un autre enfant pupille de l’État, dit « à besoins spécifiques ». Muni d’un nouvel agrément, nous avons à nouveau sonné aux portes des associations, en ciblant notre projet : un enfant sans handicap majeur mais avec des points d’interrogation.

Elle a fait de nous ses parents

Du projet d’adopter un ou deux enfants, avec ou sans besoins spécifiques, à l’arrivée de leur petite fille, pupille de l’État, porteuse d’une maladie génétique, avec une part d’incertitude.