Besoins spécifiques

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Carences affectives : quelles conséquences ?

Du fait même de l’histoire qui les a menés à l’adoption, les enfants adoptés ont tous vécu des situations où leurs besoins affectifs ne pouvaient être totalement et convenablement comblés. Selon leur personnalité, leur sensibilité, les aides qu’ils ont puisées dans leur environnement, la souffrance qui en résulte sera plus ou moins intense et ils en garderont des séquelles plus ou moins importantes. Alors, les carences affectives : quelles conséquences ? Le Dr Odile Baubin, pédiatre référent du service Enfants en recherche de famille, nous en dit plus.

Incertitude de développement : en route vers notre fille avec ERF…

Déjà parents de trois enfants, Emmanuel et Soizig ont cheminé avec ERF avant de devenir les parents d’une petite fille de 6 mois qui présentait une incertitude de développement, un retard psychomoteur et un repli sur soi. Un accompagnement qui s’est poursuivi après l’arrivée de la fillette.

Santé et projet d’adoption d’un jeune enfant

Quand santé et projet d’adoption d’un jeune enfant se conjuguent… Travailler un projet d’adoption pour un nourrisson présentant des problèmes de santé nécessite de prendre le temps d’évaluer ses besoins spécifiques pour trouver la meilleure famille, celle qui sera en capacité de répondre au mieux à ces besoins. Mais ce temps de réflexion et d’évaluation indispensable peut se révéler aller à l’encontre de l’intérêt de l’enfant. À l’aide de quelques exemples, le Dr Odile Baubin, médecin pédiatre référent d’Enfants en recherche de famille, tente d’identifier les mécanismes qui interviennent pour mieux les éviter ou les contourner.

Santé et projet d’adoption d’un enfant grand

Dans un premier article, le Dr Odile Baubin, médecin pédiatre référent d’Enfants en recherche de famille, nous exposait la réflexion à mener dans la prise en compte des problèmes de santé dans le projet d’adoption d’un enfant jeune. Mais comment sont interrogés santé et projet d’adoption d’un enfant grand ? La santé de l’enfant grand peut aussi entrer en compte dans un projet d’adoption et la complémentarité des professionnels devrait pouvoir éclairer ces situations particulières.

Quand adoption se conjugue avec handicap…

Pour notre troisième enfant, nous nous sommes orientés vers l’adoption. Nous ne ressentions pas le besoin d’une filiation biologique. Dans le cadre de la procédure d’agrément, nous avons cheminé vers l’adoption d’un enfant dit « à besoins spécifiques ».

Une petite fille à besoins spécifiques

Un jour, un mail d’ERF : une petite fille à besoins spécifiques de 2 ans, trois mois d’écart avec notre fils aîné, mais tellement handicapée qu’elle sera vraiment sa « petite » sœur. C’est ce qu’on nous dit. Une situation d’urgence. Super ! Vite, il faut tout préparer, prévenir tout le monde ! Bon, l’urgence, l’urgence…

Un vrai rayon de soleil pour notre famille

Déjà parents de deux enfants adoptés (un garçon originaire de Russie et une fille née France), nous souhaitions encore agrandir notre famille en accueillant un autre enfant pupille de l’État, dit « à besoins spécifiques ». Muni d’un nouvel agrément, nous avons à nouveau sonné aux portes des associations, en ciblant notre projet : un enfant sans handicap majeur mais avec des points d’interrogation.

La disponibilité parentale en question

Sollicités en tant que référents ERF par des postulants pour les accompagner dans leur projet vers un ou des enfants à besoins spécifiques, il arrive que nous ayons du mal à les rencontrer : « Vous comprenez, on a un travail très prenant » ; « Ce n’est pas facile de se libérer » ; « Notre emploi du temps est très serré ». Bien sûr ! Qui ne le comprendrait pas ? Nos existences sont souvent bien remplies. Ces premiers contacts avec certains postulants peuvent interroger la démarche qu’ils entreprennent. Ils sont aussi une porte ouverte pour les aider à mûrir leur projet, car là s’impose d’emblée la question de la disponibilité parentale.

Le devenir des enfants placés : la recherche Saint-Exupéry, le suivi de 129 enfants placés

Une recherche menée de 2011 à 2014 décrit le devenir des enfants placés, avant l’âge de 4 ans, dans un établissement de l’Aide sociale à l’enfance. Les constats sur leur évolution à long terme montrent, pour une partie importante de ceux-ci, une vulnérabilité personnelle et sociale très forte.

Un petit garçon avec quelques « moins » mais qui apporte tellement de « plus »

Les délais d’attente dans l’adoption sont longs, et bien que ce soit souvent difficile à vivre, ces temps permettent aussi la réflexion au sein du couple, et peuvent amener à mûrir le projet en cours et le faire évoluer vers un enfant à besoins spécifiques. Ce fut le cas de ce couple.